D J’ai connu Mélusine au mois d’Mai à l’usine A7 D à coté de Liévin. Elle était bien gamine ; mais comme disait Bourvil, A7 D y’a beaucoup d’gens gamins. (Jean Gabin, c’est rigolo) [Verse] D Quand j’ai connu Sabine, elle était dans son bain. A7 D J’aimais bien sa bobine, on s’est aimés un brin ; mais comme disait Daudet, A7 D y’a beaucoup d’Jean Moulin. (Rouge) [Verse] D Quand j’ai connu Catherine, j’composais des quat’ains, A7 D avec une catin hein, là-bas en Argentine ; mais comme disait Krivine, A7 D y’a beaucoup d’Jean Nohain. (c’est hilarant, de la Baltique) [Verse] D Quand j’ai connu Martine, c’était un beau matin , A7 D j’ai beurré ses tartines, j’y’ai roulé des patins ; comme disait Lamartine, A7 D y’a beaucoup d’Jean Bouquin. (là, je sais pas quoi dire). [Verse] D Quand j’ai connu Yasmine, j’y ai offert du jasmin. A7 D Elle avait mauvaise mine, j’ai demandé sa main ; mais comme disait Lénine, A7 D y’a beaucoup d’genr’s humains. (l’Internationale sera le genre humain... Ouais... le dernier) [Verse] D Quand j’ai connu Amin, je faisais du dada, A7 D j’mangeais des nougatines là-bas en Ouganda ; mais comme disait Merlin... A7 Ben heu enchanté... D Thé au Jasmin...